Réunion du matin. Audit de mon gros compte client… le carnage encore. Je ne suis pas dans les clous pour tout un tas de bonnes raisons. Donnez-moi 5 heures de plus par jour et on verra ce qu'il est possible de faire. Ou un chef de projet junior à former qui n'aura pas déjà trois autres comptes à gérer… et sera intéressé par l'apprentissage.
La matinée se poursuit par quelques coups de fil qui me font bien plaisir. Un de mes amis va se lancer sur les chemins de Compostelle en traversant les Pyrénées de Narbonne à Saint-Jean-Pied-de-Port. Histoire de se ressourcer loin de la foule et de la technologie et du stress post-covid ambiant. Dans la foulée maman. Et entre deux, à peine le temps de me bricoler une salade !
Toujours autour du même thème : salade verte, tomates, pousses de blettes, cébettes et échalotte et autres herbes. Tant qu'il y aura profusion de légumes au marché je ne reviendrai pas trop sur les éléments accessoires sortis de mes boîtes ou bocaux !
Cet après-midi je vais au bureau pour essayer de livrer une première partie de mon gros projet. J'en profite pour imprimer les liasses fiscales diverses et variées, les dernières factures et autre paperasse que je dois classer proprement.... plus ça, moins j'aime ça, classer.
Bref. Je rentre du bureau vers 23h30. J'ai choppé un bus qui m'a ramené à la Côte des Neiges, mais le 165 qui remonte n'arrivait que 20 minutes plus tard. J'ai fait le chemin à pied. Bon exercice... ça ne m'était plus arrivé depuis très longtemps.
Le corollaire : j'ai le talon qui lance au bout d'un moment. Et ça, ça m'ennuie carrément.
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