Le litre de tisane d'hier soir a fait son effet. Tisane anti-grippe et rhume. Plus de sinusite et pas de mal de crâne. Elle contient plein de choses, cette tisane. Bien efficace. Contente d'avoir investi l'hiver dernier !
Le temps va tourner au gris humide en début d'après-midi... mais on n'aura finalement pas de neige tout de suite !
Dorothée passe en fin de matinée. Ça coupe le week-end. On discute voyages en France et toutes les mesures qui empêchent les gens de venir s'installer ici ou de rentrer tranquillement là-bas.
Et ensuite je me plonge dans mes gamelles. J'ai plein de trucs dans mon frigo, et je dois continuer à remplir mon congélo avec "le plan de quarantaine". Sauce de canneberges, trois petites boîtes. Compote de pommes, une grosse boîte.
Courges spaghetti et sauce bolognaise pour aller avec. Là, je m'en fais une grande assiette et je me régale. Je mets la fin de la sauce dans des bocaux, et les courges dans un tupperware. Ce sera le menu de la semaine. Je pense que je vais lever le pied sur les salades... avec le froid et les courants d'air dans l'appartement, je sens que je vais apprécier les plats chauds à nouveau ! À chaque saison ses plaisirs.
Dans le tuyau, j'ai la matière pour me faire une compotée de poires. Celle de l'année dernière était délicieuse. Et je dois voir à cuisiner l'osso bucco que j'ai en stock dans le congélateur, c'est plus compliqué que les compotes... je dois exhumer la recette qui va bien et avoir les légumes en stock.
Bref : je passe l'après-midi dans mes casseroles... et il fait maintenant nuit à 17h. Surtout avec la météo qui a viré au mode hivernal d'un coup. Pluie fine depuis trois heures. Et le vent s'est mis de la partie en fin de journée.
Lien du jour :
> https://lp.ca/tYi1I1 - hommage à Sean Connery.
Je fais l'impasse sur les liens relatant la tuerie qui a eu lieu hier soir à Québec. Un dingue déguisé en chevalier médiéval et armé d'un sabre japonais s'en est donné à coeur joie dans les ruelles de la haute ville. Deux ou trois morts et des blessés. Un carnage qui s'est étalé sur plusieurs dizaines de minutes... avant que le tueur ne s'affale dans un coin de rue, en hypothermie, prostré. Problème de santé mentale, qu'ils disent. Comme le dit une intervenante à la radio, il aurait été noir, on l'aurait liquidé sans lui poser la moindre question et sans lui chercher des circonstances atténuantes. Bref. Le monde va mal.
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