Samedi. Grosse fatigue. Je me suis couchée trop tard hier.
Coup de fil de papa vers 9h comme convenu. Nouvelles de maman : son opération s'est bien passée, mais elle reste encore à l'hosto aujourd'hui, le temps de se remettre de l'intervention.
Douche rapide et c'est l'heure des copines. Bon, que les choses soient claires, aujourd'hui elles m'énervent carrément. Elles sont à trois chez l'une d'entre elles... alors que depuis des mois on n'a pas le droit de se réunir à plus de deux foyers différents. La cerise sur le gâteau, ce sont les plans foireux pour déjouer les caméras de sécurité et les concierges pour aller dîner chez des amis. Et encore, je ne sais pas selon quel prétexte la chef du gang va entrer en Europe bientôt, avec l'intention d'y rester jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de quarantaine pour le retour au Canada, et surtout d'aller et venir entre France et Belgique sans aucune quarantaine... vu que c'est juste sur une base volontaire. Ça me débecte, cette attitude de "moi, je suis au-dessus des lois".
Bref, ça me fout le moral à plat pour le reste de la journée. Tricot, lecture, un peu de cuisine.
Le soleil joue à cache-cache avec les nuages et le vent est déchaîné.... glacial et pas engageant. J'ai juste envie de me blottir sous la couette.
Le coucher de soleil s'éclaire d'une belle transparence... et j'envisage d'aller tâter le fond de l'air.
Mais bon, au final l'opération de triage de photos commencée plus tôt ce n'est pas ce soir que je vais la terminer et me remettre au blog.
Dorothée vient prendre le thé et papoter un peu. Ça me fait du bien. Et chercher des chalets abordables en bord de l'eau dans un budget précis, ça occupe bien l'esprit aussi.
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