Mail du matin. J'y répondrai plus tard. Je dois d'abord finir de livrer les trucs en cours. Priorités en mode FIFO, quand tout est prioritaire, il n'y a plus de préférence. Et j'en ai juste marre que mes projets soient relégués en priorité de dernier rang dès que la cheffe me balance ses trucs merdiques à gérer, au prétexte que c'est super important.
Bref, du mal à me motiver. L'introspection à temps constant depuis un an, ça commence à m'atteindre au moral. La radio distille toutes les théories de psychologie, entre résignation et colère, entre dépression et envie de tout envoyer balader. En ce moment, on attaque la rétrospective d'un an de pandémie. Entre radio et La Presse en ligne, on a droit aux chroniques quotidiennes avec la prise de recul et la mise en perspective par rapport à l'état des connaissances d'il y a tout juste un an.
Coup de fil de papa, qui n'a pas de nouvelles de maman. Elle est entré à l'hosto aujourd'hui et devait être opérée dans la journée. Bon... pas de nouvelles, bonnes nouvelles.
Le temps se dégrade... le bleuté cède la place à une certaine nébulosité limite neigeuse.
Je passe l'après-midi sur mes tracking sheets et autres status reports. Je me trouverai un moment dimanche pour expédier tout ça avant lundi matin en France...
Entre deux, conversation autour des plans de réfection d'un appartement à Cagnes. Finalement, ça me plairait bien d'être architecte d'intérieur. De là à se reconvertir, il y a quand même un bout, et un budget.
La journée s'éternise après le coucher de soleil. Nocturne pour arriver à boucler ce que je voulais boucler.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire