vendredi 25 novembre 2016

25 novembre 2016 - Opio et photo

Aujourd'hui, visite expresse à l'Opiom Gallery pendant ma pause de midi. Ca fait un moment que j'en ai envie, et pour une fois, j'ai un peu de temps et la météo s'est remise au beau fixe après une période assez diluvienne (c'est la norme, ici, les déluges du mois de novembre). 

A l'honneur en ce moment, outre des jeunes photographes au talent qui s'affirme, un hommage à Jacques Henri Lartigue, avec, en marge de l'exposition, la possibilité de visiter sa maison, dans le village, à quelques pas d'ici.

Les clichés proposés nous replongent dans l'âge d'or de la côte d'azur, entre années 50 et 60, bien avant le tourisme de masse, une époque où les plus grands noms, de Picasso à Kennedy en passant par Cocteau et de nombreux artistes, posaient devant l'objectif du photographe. 

Expo en cours jusqu'à fin décembre, et contente de l'avoir vue, sans compter que la découverte des autres artistes ne gâche rien : beaucoup de créativité et d'inventivité. La photo prouve ici que c'est un art à part entière, et pas une simple représentation de la réalité. 
A noter que la galerie présente de nouvelles expos régulièrement dans l'année. J'y avait découvert Jimmy Nelson l'an dernier. 

Pas le temps vendredi de poursuivre mon exploration en faisant le bureau buissonnier, et c'est samedi que je suis montée au village, munie de mon appareil photo. 
Le village est tranquille. Quelques maisons et d'anciennes bastides qui épousent les courbes du relief, étagées entre les ancienne terrasses de culture. L'église se dresse fièrement sur la place Jacques Henri Lartigue. La maison est quelque part en contrebas, après l'escalier qui descend sur le côté droit. 


Bon, je n'irai pas par quatre chemins. Je n'ai pas trouvé la maison, ou alors je l'ai trouvée... sans la reconnaître. Je tenterai une récidive à l'occasion. 
Je me suis donc contentée de déambuler autour de l'église, sur le chemin qui longe les restanques en offrant une vue magnifique sur la côte, au loin, après les champs d'olivier et l'urbanisation qui ronge maintenant le paysage. 




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