samedi 2 mars 2019

2 mars 2019 - Pérégrinations

Juste quelques vues au hasard de mes sorties de la journée… 

Aujourd'hui c'était activités papotages le matin. Cela m'a juste laissé les 3 minutes nécessaires pour éluder partiellement une question qui me taraude depuis un moment, en attendant le covoiturage au coin de Queen Mary. 
Le Pharmaprix où je fais mes courses de temps à autres a une façade peu ordinaire. Manifestement c'est un ancien musée qui a été converti en temple de la consommation. A voir la statuaire qui encadre l'ancien porche, je pensais qu'il s'agissait d'un ancien lieu de culte désacralisé. Mais non. 
Il faut que je termine mon enquête pour savoir si ce musée a vraiment existé ou s'il s'agit d'un projet qui a tourné court… 


Juste devant se trouvent quelques coins "salon" sans doute agréables en été sous les arbres. En ce moment il ne donnent pas trop envie. Les jours de neige, les fauteuils ont un aspect moëlleux avec le haut des dossiers qui dépassent à peine. Mais là, on a l'impression que le ménage laisse à désirer ! 


Après quoi nous sommes allées dans un coin plus résidentiel. Le déneigement y est plus aléatoire. Je manque à chaque fois de me vautrer en sortant de la voiture… ça glisse carrément ! 

L'après-midi fut consacrée à un tour de l'autre côté de la ville, d'abord vers Berri-UQAM, pour explorer la gare des bus, et ensuite vers Plateau. 

Là aussi, en dehors des axes majeurs c'est toujours le règne de la neige et de la glace qui encapsule les trottoirs. J'assiste à une chute en direct trois mètres devant moi et je redouble de vigilance. Peu de temps pour regarder le décor, ici on regarde soigneusement où on pose les pieds ! 




Après cette escapade je rentre en bus, la ligne qui passe ici me ramène directement au pied de chez moi, avec mes trésors. Je viens de trouver un deuxième endroit pour dénicher des livres pas chers. Reste à voir quelle est la fréquence d'approvisionnement de leur stock. Pas grand chose en anglais, et un rayon polar à explorer pour ce qui est du français… A trois dollars le bouquin, je ne prends pas trop de risque ! Et si je veux faire une bonne action, il suffit que je les ramène après usage et l'association caritative qui gère le dépôt-vente pourra en tirer à nouveau un petit profit.

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