Mon passage à Antibes rime depuis 4 ans avec travaux et remises en état diverses dans mon appartement. Cette année, le gros point noir, c'était la baignoire, impossible à nettoyer proprement faute de couche émaillée résiduelle.
Faut dire qu'elle était d'époque... je veux dire de la construction, en 1972. Belle performance donc, elle avait 50 ans, en fonte, et avec de jolies concrétions au niveau de la bonde, sous la cuve ! Je n'ai pas pu récupérer les photos prises par le plombier, mais c'était impressionnant de rouille et de corrosion. Et un peu miraculeux aussi, que personne ne soit passé au travers un jour de grand énervement !
J'ai oublié de prendre une photo avant le début du chantier... j'irai à la pêche dans mes archives à l'occasion.
Bref : résumé des épisodes entre le 6 et le 16 janvier.
Première étape : découper la baignoire afin de l'évacuer. Six tranches, trois disques abrasifs, une poussière noire et collante en flottaison dans la pièce et une odeur prégnante dans tout l'appartement, malgré l'aération XXL par les baies vitrées grandes ouvertes - pas top, avec le froid de janvier !
Troisième étape : couler une nouvelle dalle et installer la baignoire dans son alcôve. Le plan d'origine consistait à déplacer le robinet pour l'aligner avec le lavabo et aménager un coin douche bien défini, mais le mur n'est pas assez épais... et surtout, les carreaux ne tiennent que par un fil : ça sonne creux, et le moindre coup de travers risque d'enclencher la chute de tout le carrelage. Je n'y tiens pas, je n'ai pas le budget pour tout recarreler !
Quatrième étape : préparation du tablier et de la tablette (la baignoire est plus courte qu'avant, les cotes standard ont changé en 50 ans !), et pose de la robinetterie. On laisse un coin accessible pour les inspections ultérieures.
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