Juste une petite vue en attendant le bus pour aller au cours de peinture.
L'Oratoire prend bien la lumière du soir en cette saison, chaude et pas écrasante.
Juste une petite vue en attendant le bus pour aller au cours de peinture.
L'Oratoire prend bien la lumière du soir en cette saison, chaude et pas écrasante.
Toujours mon monde vu d'en haut. Journée de printemps pluvieuse. Promis, j'essaierai de faire plus ensoleillé la prochaine fois !!
Là, j'en suis juste à finir une première ébauche après le fond. Et en fait, ça me plaît bien... notamment le ciel, même s'il est plombé comme les jours de pluie !
Donc à suivre encore pendant quelques temps !!!
La toile est passée par plusieurs métamorphoses. Le fond était top, mais le résultat pré-final ne me plaît pas. J'ai mis trop de verdure partout, c'est un joyeux fouillis, on ne voit plus les maisons, ça ne respire pas. Le printemps s'est fait engloutir par l'été. Bref, c'est brouillon, mais a priori c'est récupérable.
Donc... c'est du "work in progress" qui va durer un peu, le temps de finir les retouches sur la toile précédente, qui touchent au but... je sens que je vais devoir remettre du blanc pour aménager des ponctuations au milieu des arbres.
Et changer un peu le ciel... et repasser sur les décorations mauves. Ça ne colle pas.
Septembre est là, avec l'exposition d'automne qui se profile à la galerie. Il est temps de boucler ce chantier qui s'éternise afin de passer à autre chose.
Je reprends la verdure, fais ressortir les maisons enfouies dans les arbres, et j'ajoute quelques éléments de décor urbain. Ce n'est pas encore complètement satisfaisant, mais j'ai dans l'idée que je n'arriverai pas à rectifier le tir. Donc alea jacta est. Mon printemps a pris des couleurs d'automne précoce ou d'été attardé... mais c'est bien la vue que j'ai de mes fenêtres dans un registre naïf !
Journée splendide... gros contraste avec les jours précédents. Le soleil projette sa lumière sur l'ouest de l'île. Spectacle du petit matin qui change des illuminations vespérales !
Ça met du baume au coeur et du coeur à l'ouvrage.
Programme du jour : salade de fruits, ma spécialité en toutes saisons. Ça me prend un temps fou pour couper les fruits en petits morceaux.
Ensuite direction Notre Dame de Grâce, dans le prolongement de Queen Mary en bas de la côte. Je choppe un 51 à la volée, puis 15 minutes à pied. Le plaisir au bout du trajet : transat au soleil et papotages sous un joli parasol en attendant l'heure du barbecue.
Ensuite, dégustation de salades et de grillades en tous genres, salade de fruit et gâteau moëlleux aux amandes... vin excellent, café, discussions variées et plaisantes.
Bref : la définition même d'une bonne journée, un vrai bon moment en vrai, pour renouer avec l'avant virtuel.
La saison des festivals s'étire un peu, et j'ai pris une entrée pour la soirée Danse traditionnelle haïtienne du festival L'art en soi.
La météo n'est pas très engageante. Pluie intermittente toute la journée, et la bruine se fait de plus en plus insistante au fur que les heures tournent.
Le rara est un des rythmes traditionnels de la musique haïtienne, hérité de l'art du tambour. J'imagine que l'alter ego guadeloupéen serait le gwo'ka... mais je dois me renseigner sur le sujet. J'avance doucement dans le comparatif entre Haïti et les Antilles françaises (sachant que Martinique et Guadeloupe ont des traits culturels distincts à plusieurs égards, et que l'histoire d'Haïti a aussi eu ses influences sur la culture de l'île, qui la distingue d'ailleurs de la culture dominicaine, hispanophone).
Bref. Ce soir, nous avons donc un bel ensemble de percussions, tambours et congas, et petits instruments plus discrets. Et des danseuses choristes, qui répondent aux tambours - un peu le jeu du marqueur et du répondeur, avec le danseur et le chanteur en contrepoint.
Le spectacle fait de la place aux explications sémantiques (j'élargis un peu mon vocabulaire), religieuses (le vaudou est toujours bien présent) et historiques. J'aime bien cette mise en perspective des influences croisées.
En contrebas de la scéne, deux danseuses en robes traditionnelles nous montrent les chorégraphies correspondant aux divers rythmes, pieds nus sur les tapis de sol mouillés et bien glissants.
Je retrouve dans l'assemblée des habitués du Balattou... soutien aux musiciens qui s'y produisent régulièrement dans un autre registre.
La soirée ne s'éternise pas, la pluie finissant par gagner le combat définitivement...
Reprise des hostilités après l'isolement en quarantaine à mon retour de France, puis reconfinement qui s'est un peu éternisé.
Bref... février bien entamé et des envies de fleurs et de printemps odorant ! Besoin de ciel bleu et de couleurs.
Jolie lumière du matin. On sent qu'on se rapproche doucement de l'automne. Les nuages dessinent des histoires dans le ciel...
Samedi typique : comateuse. Debout tard et grosse sieste dans l'après-midi. C'est ce qu'on appelle être mort de fatigue... bref : une larve !
Ce soir, j'ai prévu d'aller voir un ensemble camerounais, Djepola, qui offre à entendre des percussions traditionnelles et un style plus afro-fusion.
> https://www.festivalnuitsdafrique.com/concerts/djepola/
J'ai beaucoup aimé. Le leader du groupe est bamiléké. Au fil des concerts, je visite un peu toutes les régions du pays avec un aperçu de la mosaïque linguistique qui le compose.
Comme on dit... TGIF - Thanks God, It's Friday.
Fin de la première semaine de backup. Fin d'une semaine en apnée plus profonde que d'habitude... Ras le bol. Va encore falloir tenir une semaine de plus. En théorie, lundi c'est férié, mais bon... c'est pas férié pour Oracle ni pour les équipes en France. C'est ce qu'on appelle être pigeon. Je suis bonne pour dimanche et lundi. Le tunnel n'a pas de fin.
Jean et Dorothée sont rentrés des obsèques de Tante Germaine. Petit paquet cadeau de Chantal... un peu de douceur dans un monde de brute...
Toujours aussi speed... encore un jour où je ne mettrai le nez dehors que très fugitivement pour récupérer mon panier Lufa.
En attendant, le petit matin offre une lumière radieuse, et le soleil joue son rôle de projecteur entre les immeubles : mise en lumière de l'ouest de l'île.
Ça virera à l'orage ou presque, avec une nébulisation flamboyante en soirée.