Escale rapide à Kamuy, restaurant chic sur la place des Festivals au centre de Montréal.
Cuisine caribéenne soignée, ambiance musicale feutrée...
Portrait rapide de quelques assiettes :
Kamuy - https://www.kamuy.ca/
Escale rapide à Kamuy, restaurant chic sur la place des Festivals au centre de Montréal.
Cuisine caribéenne soignée, ambiance musicale feutrée...
Portrait rapide de quelques assiettes :
Bref état de la piscine... ils ont rebouché les saillies et posé le nouveau tuyau d'évacuation.
Mais bon... apparemment c'est pas encore demain qu'on y aura accès.
Sunset de feu ce soir. L'appartement baigne dans la lueur rouge qui arrive de l'extérieur, impressionnante il faut le dire ! On croirait qu'un incendie géant embrase tout l'horizon et absorbe la banlieue jusqu'à l'horizon.
Pour une fois, je suis rentrée suffisamment tôt pour en profiter.
Aujourd'hui c'est Pâques. Au programme, aller-retour à l'aéroport, suivi d'un repas en famille.
Internet est toujours dans les vappes.
Je joue avec mon projet "oeufs de Pâques" en cours depuis 2020. Faudra que je le termine un jour, avec du plâtre, des fils et des tiges pour faire un joli mobile de saison.
J'attaque par la préparation de la salade, cuisson du quinoa, découpage des petits légumes. J'assemblerai tous les ingrédients au retour de Dorval.
En route pour le bureau pour imprimer la carte d'embarquement et le visa pour Cuba. Là, deux suprises. La bonne, c'est que le shampouinage de la moquette est en cours... cela devrait atténuer les allergies et rhinites récurrentes depuis des semaines. La mauvaise, c'est qu'il n'y a pas de réseau ni d'internet. Impossible d'imprimer les deux papiers. La tuile... et je me projette à demain sans support technique (vu qu'en France c'est férié) et aucune connexion. Espérons que l'internet sera rétabli à la maison afin d'avoir au moins accès à du service minimum.
On se met en chasse d'un commerce ouvert qui offre la possibilité d'imprimer, loin d'être évident un dimanche de Pâques. On trouvera la perle rare dans une échoppe de photographe en face du métro Snowdon.
Aéroport à 11h30, dépose du voyageur qui va retrouver ses comparses pour l'aventure.
Je repart pour la Côte des Neiges. Bricolage expresse de la salade. Coups de fils entre deux. Et je vais me mettre les pieds sous la table.
La chasse aux oeufs se fera juste avant le dessert.
Ensuite, je rentre... top synchro avec le retour de l'internet sur la box. Ouf !
Comme prévu, pas d'accès au réseau. Les serveurs sont bien tombés. Série de mails et de messages aux collègues pour leur dire de rester chez elles et de bosser à distance avec les moyens du bord. Trois d'entre elles ont prévu d'être off demain de toute façon. Espérons que le support arrivera à relancer le réseau d'ici mardi.
En attendant, la semaine se termine, une nouvelle commence, et je ne peux pas dire que je suis sereine...
Surprise aujourd'hui... la piscine est trouée. Ils ont fini de faire une grande saillie entre les deux bouches d'évacuation. Le tuyau est en place dans la tranchée. Mais c'est encore bien le chantier... on n'en voit pas le bout.
La pluie s'est attardée, la température n'est pas remontée. Le verglas n'a pas vraiment commencé à fondre, en tout cas, pas dans les arbres.
Les pannes se sont multipliées... 1,2 millions de personnes sans électricité à l'échelon du Québec, donc la moitié sur Montréal.
La journée est super grise. Rockhill est dans le nuage, humidité palpable et collante.
Les arbres continuent à craquer... dégâts qui s'amplifient au fil des heures.
Je passe la journée suspendue au téléphone à dépanner les collègues qui ont encore du jus et arrivent à travailler. Pour ma part, je ne connais personne qui soit encore connecté. Je squatte le hall d'entrée de l'immeuble pour recharger le téléphone entre deux. Apparemment il y a encore des coins qui ne sont pas sortis du monde... notamment le centre ville, et quelques poches de l'autre côté de l'avenue.
Sortie nocturne pour récupérer mon panier Lufa. Les bulldozers poussent le bois sur le côté, les camions d'élagage ramassent tout ça pour les réduire en copeaux. Un travail titanesque s'annonce pour les services municipaux...
À ce stade, les statistiques d'HydroQuébec sont perdues dans les limbes...
Quelques vues d'ailleurs, du côté des copines.